Cet article est très spécial. Il m’a très touché. Et je pense que c’est parque ce que tu écris me fait revivre ce ma journée d’hier. Hier lors du repas avec ma belle-famille, toutes les discussions portaient sur la situation dramatique qui se déroule en Ukraine. J’étais silencieux (comme d’habitude). Ma belle-belle m’a dit mais pour quoi toi tu ne dis rien. J’ai répondu je suis très triste, pas seulement aujourd’hui, je porte en moi la tristesse de la guerre depuis des années. Parce que j’ai suivi de très près la destruction systématique de la Syrie, de la Lybie, la guerre de la Crimée, le Yémen, de 2015 à 2018, j’ai vécu avec des refugies soudanais qui ont vécu le cœur meurtri para la guerre, j’ai joué au football avec des filles et des garçons qui ne nous connaissent pas d’autre villes que le Camps de refugies : parce que elles/ils sont nés et grandissent dans le Cam de refugie. Le récent chao à l’aéroport de Kabul, la négation des droits les plus essentiels aux femmes afghanes… et aujourd’hui l’Ukraine. Notre fils a 04 ans. Il est parti dans son second pays seulement une fois, et le voyage n’a duré que 10 jours en raison de la guerre !
En lisant ton article ce matin, je me suis senti touche par la courageuse vérité qu’il communique : notre sensibilité, notre sympathique, notre sens de la solidarité avec les personnes qui vivent les situations de guerre sont peut-être affecte en fonction de la distance qui nous sépare ou lie à elles. Mais toutes les guerres sont-elles pas égales ? Puisque les points communs à toutes ces guerres ne sont pas trop différents : dans chaque guerre sont des vies brisées, des rêves brisés, des personnes arrachées du jour ou lendemain à leur vie, à leur terre, à leur maison, à leur culture. Oui aucune guerre ne peut être justifiée, aucune guerre ne vaut la peine.
Merci beaucoup chère Giusy pour cet article, à toi et a tous les siens je souhaite un jour ensoleiller.
Avec toutes ms amitiés
Giuseppe